(...) Respect et tendresse. Si vous avez quelques ordres a me donner, je tâcherai de vous prouver par mon exactitude les respectueux sentiments avec lesquels j’ai l’honneur d’être votre très humble et très obéissant serviteur. Mon cher ami, quoi qu’en dise Cicéron, de Senectute, la fin de la vie est toujours un peu triste. Je vous embrasse. J’embrasse mon frère et mes frères. Écr. l’inf. Mille tendres respects. Le papier me manque pour vous dire combien je vous aurai d’obligation et avec combien de reconnaissance et de respect j’ai l’honneur d’être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur ; je me vante d'avoir compris tout d'un coup tout ce que vous valez ; je vous prie de me conserver un peu d'amitié ; je suis entièrement à vos ordres, et c'est avec tous les sentiments que vous méritez , que j'ai l'honneur d'être passionément, Monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur. J’embrasse tendrement mon cher frère, je m’intéresse à tous ses plaisirs; mais le plus grand de tous, et en même temps le plus grand service, est d’éclairer les hommes; mon cher frère en est plus capable que personne; je lui serai bien tendrement attaché toute ma vie. Je m’intéresse plus que personne à vos succès et à vos plaisirs, mais un malade de soixante et dix ans n’est plus fait pour en donner en aucun genre; Il ne me reste que des sentiments avec lesquels j’ai l’honneur d’être, etc. Ne perdez pas l’habitude de m’écrire de temps en temps: je conserverai toute ma vie celle de vous aimer. Vale, je vous estime autant que je vous aime. Je voudrais bien être à portée, monsieur, de vous prouver avec quels sentiments respectueux j’ai l’honneur d’être, etc. Adieu, mon cher confrère; personne ne sent plus vivement que moi les charmes de votre amitié. Mes anges, nous baisons tous le bout de vos ailes. La vieille marmotte des Alpes est à ses pieds avec le plus tendre respect. Je suis avec un profond respect, etc. Où demeurez-vous? que faites-vous? Aimez-moi toujours. Je suis toujours un peu quinze-vingts. Consolez-moi, en me conservant vos bontés. Relisez l’Héraclius de Corneille, je vous en prie. A l’ombre de vos ailes. (...)